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comme un poizon dans l'eau
12 août 2004

Le désert du pareil au même

C'est en Australie en 1920, que mon histoire commence. Un pays pulvérisé, colonisé, puis transformé en ça: un désert de maisons qui s'étend a perte de vue, qu'on appel "le désert du pareil au même. Un désert de maisons toutes semblables, le même toît, la même cheminée, la même porte... la même sérure. Tout cela dirigé par Mordillo, un dictateur fou, obsédé par la similitude, la symétrie, le pareil, le même. Son plus grand rêve étant que le monde soit plat, chaque continent carré, chaque nuage roud, chaque goutte de pluie parfaitement ovale. Et c'est ici en Australie, que son enfer il l'a crée.
Et moi, Ferdinand, habitant du désert, j'ai décidé de ne pas scèder a cette manipulation. C'est donc un Lundi matin que l'idée m'est venu de changer de décore.
J'ai enfilé mon vieux costume de cuire, que je n'avais pas sorti depuis l'arrivée de Mordillo au pouvoir. Celui ci nous obligeant a porter un costume tellement net et symétrique, que nous en confondions notre droite et notre gauche.
Ici tout le monde gagnai le même salaire, et n'avait le droit qu'a une variation de nourriture limitée. Ma famille souffrait plus chaque jour du manque de loisir, du manque de sortie, de ce rien que nous posédions... Ce rien qui est la pire des angoisses, le pire des ennuis, la pire des solitudes.
Alors j'ai sorti le peu de peinture qu'il me restais, mon échelle et mon rouleau de peinture. Alors j'ai commencé a peindre. Peindre sur mon toît les vagues de la mer que je n'avais pas vu depuis 7ans. Je peignais tout en sachant ce qui m'attendais. J'entendis alors la police au loin. Un voisin, avait du me dénoncer pour empocher une prime, surement. Mais je continuais, espérant que j'aurais le temps de finir cette facade de mon toît. Quand j'eus fini j'entendi la voiture se garer et les gendarmes vinrent me prendre. Même pas un procès, même pas un interrogatoire. On me dit seulement que j'étais condamné à une pène de 15ans de prison. Deux gardes m'emmenèrent ds une espèce d'éorme forteresse, et lors ceque les deux gigantesque portes de celle ci s'ouvrirent, je vis ce que je puis m'immaginer.Des milliers de prisons a perte de vu. Un désert de prison, rempli de condamné qui purgeaient pour une faute similaire a la mienne. Aujourd'hui je sors après 15ans d'enfer pour retrouver le désert du pareil au même qui me parrait être maintenant le paradis.

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